mardi 7 novembre 2017

Demain sera tendre de Pauline Perrignon

Date de parution : août 2017 chez Stock
Nombre de pages : 216

La narratrice part à la recherche de l’histoire de son père après sa mort. Son père était un journaliste engagé, un homme de convictions que la mélancolie a fini par gagner et qui a vécu des années de dérive dans l’alcool.
Pauline Perrignon rencontre les copains de son père, étudiants de l'école de journalisme qu'il a fréquentée, cherche à en savoir plus sur ses engagements, son militantisme et relit ses mots. Elle rencontre Edmond Maire auprès duquel il a joué un rôle important. Elle cherche aussi à connaitre l'histoire de sa rencontre avec sa mère et à comprendre l’érosion du couple de ses parents.

Ce premier roman est une sorte de quête où il est question de transmission, où l'auteur ne règle aucun compte avec son père. Ce roman ne m'a pas bien intéressée car d'une part je ne connaissais pas le père de l'auteur et d'autre part parce que j'ai trouvé le style de ce roman plus journalistique que littéraire. Un premier roman qui ne m'a pas émue.

Merci à NetGalley et aux éditions Stock pour cette lecture.







Citations
 " Ces mots sont inscrits à mon ADN. Ils sont ton cadeau et ma chance au réveil chaque jour" 


L'auteur


Née en 1978, Pauline Perrignon a boudé quelques années Paris pour Londres, dont elle est revenue sans le flegme, mais avec un certain goût pour l’autodérision et le thé. Elle est éditrice le jour, danse et joue de la musique la nuit.(Sources : Éditeur)





46ème participation au Challenge Rentrée Littéraire 2017













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4 commentaires:

  1. Oh je l'ai bien aimé. Je comprends ce que tu veux dire quand tu parles d'aspect journalistique car il y a toute cette quête sur le père qu'elle n'a pas connu. Celui du passé, celui d'avant elle. Mais j'ai trouvé l'écriture percutante et franche et c'est aussi ce qui m'a plu. Et surtout j'ai trouvé que ce livre était une lettre sur l'absence, une absence embellie par ce que Pauline Perrignon à envie de garder ou d'imaginer de ce père.

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    1. Je ne savais pas que tu l'avais lu, je vais lire ta chronique et rajouter le lien dans mon article pour apporter un avis contradictoire toujours intéressant

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  2. De rien
    mais lis le commentaire d'Amandine qui l'a aimé... il te plairait peut être

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