Janvier arrive à grands pas avec sa fameuse rentrée littéraire. 499 nouveaux romans se présenteront sur les étals pour la rentrée
littéraire de janvier-février, à partir du 4 janvier. Soit 145 titres
français, dont 64 premiers romans, et 153 titres étrangers.
J'ai
commencé mes repérages et ai déjà choisi mes premières lectures. M'ont
guidée l'envie de retrouver mes auteurs chouchous (Gaëlle Josse, Céline Lapertot, Delphine De Vigan, Olivier Bourdeault, Olivier Adam, Catherine Rolland, Antoine Choplin, Pierre Lemaître...) et celle de découvrir des
auteurs que je n'ai pas encore lus (Christian Guay-Poliquin, Colombe Schneck, Jean-Philippe Blondel...)
Je
vais pouvoir découvrir certains titres en avant première grâce à mes
partenariats avec certaines maisons d'édition : Grasset, Stock, JC Lattès, les Éditions de l'Observatoire, et
bien entendu Netgalley. Je les en remercie vivement.
Cette liste est bien entendu loin d'être exhaustive et va s'enrichir au fur et à mesure de l'hiver. Mes chroniques seront publiées au fur et à mesure des parutions de ces romans en janvier.
Cette liste est bien entendu loin d'être exhaustive et va s'enrichir au fur et à mesure de l'hiver. Mes chroniques seront publiées au fur et à mesure des parutions de ces romans en janvier.
Ne préfère pas le sang à l'eau de Céline Lapertot
à paraître le 11 janvier 2018 aux éditions Viviane Hamy
« Cette sensation de fin du monde, quand tu as dix ans et que tu
comprends, du haut de ton mètre vingt, qu’il va falloir abandonner la
sécheresse de ton ocre si tu ne veux pas crever. Je serais restée des
millénaires, agenouillée contre ma terre, si je n’avais pas eu une telle
soif.
Maman a caressé la peau de mon cou, toute fripée et desséchée, elle m’a vue vieille avant d’avoir atteint l’âge d’être une femme. Elle a fixé les étoiles et, silencieusement, elle a pris la main de papa. On n’a pas besoin de discuter pendant des heures quand on sait qu’est venu le moment de tout quitter. J’étais celle à laquelle on tient tant qu’on est prêt à mourir sur les chemins de l’abîme.
J’étais celle pour laquelle un agriculteur et une institutrice sont prêts à passer pour d’infâmes profiteurs, qui prennent tout et ne donnent rien, pourvu que la peau de mon cou soit hydratée. J’ai entendu quand maman a dit On boira toute l’humiliation, ce n’est pas grave. On vivra. Il a fallu que je meure à des milliers de kilomètres de chez moi. »
Maman a caressé la peau de mon cou, toute fripée et desséchée, elle m’a vue vieille avant d’avoir atteint l’âge d’être une femme. Elle a fixé les étoiles et, silencieusement, elle a pris la main de papa. On n’a pas besoin de discuter pendant des heures quand on sait qu’est venu le moment de tout quitter. J’étais celle à laquelle on tient tant qu’on est prêt à mourir sur les chemins de l’abîme.
J’étais celle pour laquelle un agriculteur et une institutrice sont prêts à passer pour d’infâmes profiteurs, qui prennent tout et ne donnent rien, pourvu que la peau de mon cou soit hydratée. J’ai entendu quand maman a dit On boira toute l’humiliation, ce n’est pas grave. On vivra. Il a fallu que je meure à des milliers de kilomètres de chez moi. »
Les loyautés de Delphine De Vigan
à paraître le 3 janvier 2018 aux éditions J.C. Lattès
Le poids de la neige de Christian Guay-Poliquin
Chanson de la ville silencieuse d'Olivier Adam
"J'ai pensé que le gamin était maltraité, j'y ai pensé très vite,
peut-être pas les premiers jours mais pas longtemps après la rentrée,
c'était quelque chose dans sa façon se tenir, de se soustraire au
regard, je connais ça, je connais ça par coeur, une manière de se fondre
dans le décor, de se laisser traverser par la lumière. Sauf qu'avec
moi, ça ne marche pas". Théo, enfant du divorce, entraîne son ami Mathis
sur des terrains dangereux.
Hélène, professeur de collège à l'enfance violentée, s'inquiète pour Théo : serait-il en danger dans sa famille ? Quant à Cécile, la mère de Mathis, elle voit son équilibre familial vaciller, au moment où elle aurait besoin de soutien pour protéger son fils. Les loyautés sont autant de liens invisibles qui relient et enchaînent ces quatre personnages.
Hélène, professeur de collège à l'enfance violentée, s'inquiète pour Théo : serait-il en danger dans sa famille ? Quant à Cécile, la mère de Mathis, elle voit son équilibre familial vaciller, au moment où elle aurait besoin de soutien pour protéger son fils. Les loyautés sont autant de liens invisibles qui relient et enchaînent ces quatre personnages.
Le poids de la neige de Christian Guay-Poliquin
à paraître le 10 janvier 2018 aux éditions de l'Observatoire
À la suite d’un accident, un homme se retrouve piégé dans un village
enseveli sous la neige et coupé du monde par une panne d’électricité. Il
est confié à Matthias, un vieillard qui accepte de le soigner en
échange de bois, de vivres et, surtout, d’une place dans le convoi qui
partira pour la ville au printemps, seule échappatoire.
Dans la véranda d’une maison où se croisent les courants d’air et de
rares visiteurs, les deux hommes se retrouvent prisonniers de l’hiver et
de leur rude face-à-face.
Cernés par une nature hostile et sublime, soumis aux rumeurs et aux
passions qui secouent le village, ils tissent des liens complexes,
oscillant entre méfiance, nécessité et entraide.
Alors que les centimètres de neige s’accumulent, tiendront-ils le coup face aux menaces extérieures et aux écueils intimes ?
Une longue impatience de Gaëlle Josse
à paraître le 4 janvier 2018 aux éditions Noir Sur Blanc
Ce soir-là, Louis, seize ans, n’est pas rentré à la
maison. Anne, sa mère, dans ce village de Bretagne, au lendemain de la
Seconde Guerre mondiale, voit sa vie dévorée par l’attente, par
l’absence qui questionne la vie du couple et redessine celle de toute la
famille.
Chaque jour, aux bords de la folie, aux limites de la douleur, Anne
attend le bateau qui lui ramènera son fils. Pour survivre, elle lui
écrit la fête insensée qu’elle offrira pour son retour. Telle une
tragédie implacable, l’histoire se resserre sur un amour maternel
infini.
« C’est une nuit interminable. En mer le vent s’est levé, il secoue
les volets jusqu’ici, il mugit sous les portes, on croirait entendre une
voix humaine, une longue plainte, et je m’efforce de ne pas penser aux
vieilles légendes de mer de mon enfance, qui me font encore frémir. Je
suis seule, au milieu de la nuit, au milieu du vent. Je devine que
désormais, ce sera chaque jour tempête. »
Les guerres de mon père de Colombe Schneck
à paraître le 3 janvier 2018 aux éditions Stock
« Quand j’évoque mon père devant ses proches, bientôt trente ans après
sa mort, ils sourient toujours, un sourire reconnaissant pour sa
générosité. Il répétait, il ne faut laisser que des bons souvenirs. Il
disait aussi, on ne parle pas des choses qui fâchent. À le voir vivre,
on ne pouvait rien deviner des guerres qu’il avait traversées. J’ai
découvert ce qu’il cachait, la violence, l’exil, les destructions et la
honte, j’ai compris que sa manière d’être était un état de survie et de
résistance. Quand je regarde cette photo en couverture de ce livre,
moi à l’âge de deux ans sur les épaules de mon père, je vois l’arrogance
de mon regard d’enfant, son amour était immortel. Sa mort à la sortie
de l’adolescence m’a laissée dans un état de grande solitude. En écrivant, en enquêtant dans les archives, pour comprendre ce
que mon père fuyait, je me suis avouée, pour la première fois, que nous
n’étions pas coupables de nos errances en tout genre et que, peut-être,
je pouvais accepter d’être aimée. »
Chanson de la ville silencieuse d'Olivier Adam
à paraître le 3 janvier 2018 aux éditions Flammarion
Je suis la fille du chanteur. La fille seule au fond des cafés, qui
noircit des carnets, note ce qu’elle ressent pour savoir qu’elle
ressent. La fille qui se perd dans les rues de Paris au petit matin. La
fille qui baisse les yeux. Je suis la fille dont le père est parti dans
la nuit. La fille dont le père a garé sa
voiture le long du fleuve. La fille dont le père a été déclaré mort.
Celle qui prend un avion sur la foi d’un cliché flou. Celle dans les
rues de Lisbonne, sur les pentes de l’Alfama. Qui guette un musicien
errant, une étoile dépouillée d’elle-même, un ermite qui aurait tout
laissé derrière lui. La fille qui traverse les jardins, que les vivants
bouleversent, que les mots des autres comblent, la fille qui ne veut pas
disparaître. Qui peu à peu se délivre.
Benjamin T , un ambulancier accepte d'entrer dans un essai thérapeutique pour tester un nouveau médicament. En effet, il est épileptique et il risque donc de perdre son travail. Or, il se met à subir d'étranges hallucinations où durant ses crises et son sommeil il se retrouve dans la peau d'un Résistant en 1944 dans le Maquis... Effet secondaire du médicament? Mais comment se fait-il alors que les personnages dont il "rêve"semblent réellement avoir existé?
Juste après la vague de Sandrine Collette
à paraître le 18 janvier aux éditions Denoël
Les rêveurs d'Isabelle Carré
à paraître le 10 janvier 2018 aux éditions Grasset
« On devrait trouver des moyens pour empêcher qu’un parfum s’épuise, demander un engagement au vendeur – certifiez-moi qu’il sera sur les rayons pour cinquante ou soixante ans, sinon retirez-le tout de suite. Faites-le pour moi et pour tous ceux qui, grâce à un flacon acheté dans un grand magasin, retrouvent l’odeur de leur mère, d’une maison, d’une époque bénie de leur vie, d’un premier amour ou, plus précieuse encore, quasi inaccessible, l’odeur de leur enfance… »
Quand l’enfance a pour décor les années 70, tout semble possible. Mais pour cette famille de rêveurs un peu déglinguée, formidablement touchante, le chemin de la liberté est périlleux. Isabelle Carré dit les couleurs acidulées de l’époque, la découverte du monde compliqué des adultes, leurs douloureuses métamorphoses, la force et la fragilité d’une jeune fille que le théâtre va révéler à elle-même. Une rare grâce d’écriture.
Le cas singulier de Benjamin T. de Catherine Rolland
à paraître le 8 février 2018 aux éditions les Escales
Benjamin T , un ambulancier accepte d'entrer dans un essai thérapeutique pour tester un nouveau médicament. En effet, il est épileptique et il risque donc de perdre son travail. Or, il se met à subir d'étranges hallucinations où durant ses crises et son sommeil il se retrouve dans la peau d'un Résistant en 1944 dans le Maquis... Effet secondaire du médicament? Mais comment se fait-il alors que les personnages dont il "rêve"semblent réellement avoir existé?
Juste après la vague de Sandrine Collette
à paraître le 18 janvier aux éditions Denoël
Une petite barque, seule sur l’océan en furie.
Trois enfants isolés sur une île mangée par les flots.
Un combat inouï pour la survie d’une famille. Il y a six jours, un volcan s’est effondré dans l’océan, soulevant une vague titanesque, et le monde a disparu autour de Louie, de ses parents et de ses huit frères et sœurs. Leur maison, perchée sur un sommet, a tenu bon. Alentour, à perte de vue, il n’y a plus qu’une étendue d’eau argentée. Une eau secouée de tempêtes violentes, comme des soubresauts de rage. Depuis six jours, ils espèrent voir arriver des secours, car la nourriture se raréfie. Seuls des débris et des corps gonflés approchent de leur île.
Et l’eau recommence à monter. Les parents comprennent qu’il faut partir vers les hautes terres, là où ils trouveront de l’aide. Mais sur leur barque, il n’y a pas de place pour tous. Il va falloir choisir entre les enfants. Une histoire terrifiante qui évoque les choix impossibles, ceux qui déchirent à jamais. Et aussi un roman bouleversant qui raconte la résilience, l’amour, et tous ces liens invisibles mais si forts qui soudent une famille.
Trois enfants isolés sur une île mangée par les flots.
Un combat inouï pour la survie d’une famille. Il y a six jours, un volcan s’est effondré dans l’océan, soulevant une vague titanesque, et le monde a disparu autour de Louie, de ses parents et de ses huit frères et sœurs. Leur maison, perchée sur un sommet, a tenu bon. Alentour, à perte de vue, il n’y a plus qu’une étendue d’eau argentée. Une eau secouée de tempêtes violentes, comme des soubresauts de rage. Depuis six jours, ils espèrent voir arriver des secours, car la nourriture se raréfie. Seuls des débris et des corps gonflés approchent de leur île.
Et l’eau recommence à monter. Les parents comprennent qu’il faut partir vers les hautes terres, là où ils trouveront de l’aide. Mais sur leur barque, il n’y a pas de place pour tous. Il va falloir choisir entre les enfants. Une histoire terrifiante qui évoque les choix impossibles, ceux qui déchirent à jamais. Et aussi un roman bouleversant qui raconte la résilience, l’amour, et tous ces liens invisibles mais si forts qui soudent une famille.
Les rêveurs d'Isabelle Carré
à paraître le 10 janvier 2018 aux éditions Grasset
« On devrait trouver des moyens pour empêcher qu’un parfum s’épuise, demander un engagement au vendeur – certifiez-moi qu’il sera sur les rayons pour cinquante ou soixante ans, sinon retirez-le tout de suite. Faites-le pour moi et pour tous ceux qui, grâce à un flacon acheté dans un grand magasin, retrouvent l’odeur de leur mère, d’une maison, d’une époque bénie de leur vie, d’un premier amour ou, plus précieuse encore, quasi inaccessible, l’odeur de leur enfance… »
Quand l’enfance a pour décor les années 70, tout semble possible. Mais pour cette famille de rêveurs un peu déglinguée, formidablement touchante, le chemin de la liberté est périlleux. Isabelle Carré dit les couleurs acidulées de l’époque, la découverte du monde compliqué des adultes, leurs douloureuses métamorphoses, la force et la fragilité d’une jeune fille que le théâtre va révéler à elle-même. Une rare grâce d’écriture.
Les couleurs de l'incendie de Pierre Lemaître
à paraître le 3 janvier 2018 aux éditions Albin Michel
Février 1927. Le Tout-Paris assiste aux obsèques de Marcel Péricourt. Sa
fille, Madeleine, doit prendre la tête de l'empire financier dont elle
est l'héritière, mais le destin en décide autrement. Son fils, Paul,
d'un geste inattendu et tragique, va placer Madeleine sur le chemin de
la ruine et du déclassement.
Face à l'adversité des hommes, à la cupidité de son époque, à la corruption de son milieu et à l'ambition de son entourage, Madeleine devra déployer des trésors d'intelligence, d'énergie mais aussi de machiavélisme pour survivre et reconstruire sa vie. Tâche d'autant plus difficile dans une France qui observe, impuissante, les premières couleurs de l'incendie qui va ravager l'Europe.
Taqawan d'Eric Plamondon
à paraître le 11 janvier 2018 chez Quidam éditeur
"Ici, on a tous du sang indien et quand ce n'est pas dans les veines, c'est sur les mains." Le 11 juin 1981, trois cents policiers de la sûreté du Québec débarquent sur la réserve de Restigouche pour s'emparer des filets des Indiens mig'maq. Emeutes, répression et crise d'ampleur : le pays découvre son angle mort. Une adolescente en révolte disparaît, un agent de la faune démissionne, un vieil Indien sort du bois et une jeune enseignante française découvre l'immensité d'un territoire et toutes ses contradictions.
Comme le saumon devenu tagawan remonte la rivière vers son origine, il faut aller à la source... Histoire de luttes et de pêche, d'amour tout autant que de meurtres et de rêves brisés, Taqawan se nourrit de légendes comme de réalités, du passé et du présent, celui notamment d'un peuple millénaire bafoué dans ses droits.
Face à l'adversité des hommes, à la cupidité de son époque, à la corruption de son milieu et à l'ambition de son entourage, Madeleine devra déployer des trésors d'intelligence, d'énergie mais aussi de machiavélisme pour survivre et reconstruire sa vie. Tâche d'autant plus difficile dans une France qui observe, impuissante, les premières couleurs de l'incendie qui va ravager l'Europe.
Taqawan d'Eric Plamondon
à paraître le 11 janvier 2018 chez Quidam éditeur
"Ici, on a tous du sang indien et quand ce n'est pas dans les veines, c'est sur les mains." Le 11 juin 1981, trois cents policiers de la sûreté du Québec débarquent sur la réserve de Restigouche pour s'emparer des filets des Indiens mig'maq. Emeutes, répression et crise d'ampleur : le pays découvre son angle mort. Une adolescente en révolte disparaît, un agent de la faune démissionne, un vieil Indien sort du bois et une jeune enseignante française découvre l'immensité d'un territoire et toutes ses contradictions.
Comme le saumon devenu tagawan remonte la rivière vers son origine, il faut aller à la source... Histoire de luttes et de pêche, d'amour tout autant que de meurtres et de rêves brisés, Taqawan se nourrit de légendes comme de réalités, du passé et du présent, celui notamment d'un peuple millénaire bafoué dans ses droits.
Fugitive parce que reine de Violaine Huisman
à paraître le 11 janvier 2018 chez Gallimard
" Maman était une force de la nature et elle avait une patience très
limitée pour les jérémiades de gamines douillettes. Nos plaies, elle les
désinfectait à l’alcool à 90 °, le Mercurochrome apparemment était pour
les enfants gâtés. Et puis il y avait l’éther, dans ce flacon d’un bleu
céruléen comme la sphère vespérale. Cette couleur était la sienne,
cette profondeur du bleu sombre où se perd le coup de poing lancé contre
Dieu."
Maria d'Angélique Villeneuve
à paraître le 7 février 2018 chez Grasset
Dans le cœur de Maria, il y a d’abord Marcus, son petit-fils de trois ans. Ensemble, ils guettent les oiseaux, collectionnent les plumes et s’inventent des mondes.À l’arrivée d’un deuxième enfant, les parents de Marcus font un choix radical. Nul ne saura le sexe du nouveau-né. Ni fille, ni garçon, leur bébé sera libéré des contraintes de genre.
Maria est sous le choc. Abasourdie, abandonnée, elle se débat pour trouver sa place et ses mots. Reste l’éblouissement de l’amour pour Marcus, restent les oiseaux dont les ailes les abritent. Mais pour combien de temps ?
A cette liste s'ajouteront :
Les secrets d'Amélie Antoine
La petite famille de Sophie Avon
Éparse de Lisa Balavoine
Le bon cœur de Michel Bernard
La petite fille sur la banquise d'Adelaïde Bon
Dans les angles morts d'Elisabeth Brundage
Maria d'Angélique Villeneuve
à paraître le 7 février 2018 chez Grasset
Dans le cœur de Maria, il y a d’abord Marcus, son petit-fils de trois ans. Ensemble, ils guettent les oiseaux, collectionnent les plumes et s’inventent des mondes.À l’arrivée d’un deuxième enfant, les parents de Marcus font un choix radical. Nul ne saura le sexe du nouveau-né. Ni fille, ni garçon, leur bébé sera libéré des contraintes de genre.
Maria est sous le choc. Abasourdie, abandonnée, elle se débat pour trouver sa place et ses mots. Reste l’éblouissement de l’amour pour Marcus, restent les oiseaux dont les ailes les abritent. Mais pour combien de temps ?
A cette liste s'ajouteront :
Les secrets d'Amélie Antoine
La petite famille de Sophie Avon
Éparse de Lisa Balavoine
Le bon cœur de Michel Bernard
La petite fille sur la banquise d'Adelaïde Bon
Dans les angles morts d'Elisabeth Brundage
L'archipel du chien de Philippe Claudel
Rupture de Maryline Desbiolles
Les indifférents de Julien Dufresne-Lamy
Eugenia de Lionel Duroy
L'attrape-souci de Catherine Faye
C'est moi de Marion Guillot
L'amour après de Marceline Loridan-Ivens
Où passe l'aiguille de Véronique Mougin
Une autre histoire de Sarah Naughton
Un océan, deux mers, trois continents de Wilfried N'Sondé
Les déraisons d'Odile d'Oultremont
Trio pour un monde égaré de Marie Redonnet
L'attrape-souci de Catherine Faye
C'est moi de Marion Guillot
L'amour après de Marceline Loridan-Ivens
Où passe l'aiguille de Véronique Mougin
Une autre histoire de Sarah Naughton
Un océan, deux mers, trois continents de Wilfried N'Sondé
Les déraisons d'Odile d'Oultremont
Trio pour un monde égaré de Marie Redonnet
Belle premiere sélection pour commencer l’année ! Merci Joëlle tu nous mets en appétit �� ! J’ai hâte également de découvrir le cas singulier de Benjamin T de Catherine Rolland mais aussi celui d’Isabelle Carré, les rêveurs, les loyautés de Delphine de Vigan, les guerres de mon père de Colombe Schneck et bien d’autres encore. Je suis dans mes recherches encore une pal bien haute à venir ��
RépondreSupprimerQuand on aime on ne compte pas... Beaucoup de lectures communes dont on va pouvoir discuter, c'est super...
Supprimernous en avons déjà 4 en commun et je rajouterai sans doute le Olivier Bourdeaut , une année qui s'annonce bien!
RépondreSupprimerEt cette liste n'est qu'un début, d'autres tentations ne vont pas manquer de nous faire craquer...
SupprimerJe n'ai pas encore regardé ce que nous réserve la rentrée de janvier, je préfère me laisser porter
RépondreSupprimerJe suis certaine qu'on va se retrouver sur plusieurs titres...
SupprimerMa sélection comporte la quasi-totalité de tes titres! Je sens des échanges fructueux à venir... 😉
RépondreSupprimerNous avons les mêmes sources... et souvent les mêmes goûts...
SupprimerBonnes fêtes de fin d'année et à bientôt j'espère.
Je partage la quasi totalité de tes choix! j'en ajouterai d'autres au fur et à mesure (je garde un peu de suspense ;))
RépondreSupprimerHate de lire tes retours sur ceux la! A commencer par celui que tu es en train de lire...
Tu ne me surprends pas Benoit, je connais un peu tes goûts... Nous allons encore avoir quelques coups de cœur communs en 2018.
SupprimerMa lecture en cours chut...