Septembre arrive à grands pas avec sa fameuse rentrée littéraire et sa parution de pas moins de 581 titres.
J'ai
commencé mes repérages et ai déjà choisi mes premières lectures. M'ont
guidée l'envie de retrouver mes auteurs chouchous (Sorj Chalandon,
Valentine Goby, Gaëlle Nohant, Pauline Dreyfus, Camille Laurens, Gilles
Marchand, Jean-Luc Seigle, Alice Zeniter...) et celle de découvrir des
auteurs que je n'ai pas encore lus (Erwan Lahrer, Sigolène Vinson,
Sophie Lemp...)
Je
vais pouvoir découvrir certains titres en avant première grâce à mes
partenariats avec certaines maisons d'édition : Grasset, Actes Sud,
Stock, JC Lattès, Héloïse d'Ormesson, Allary Éditions , Quidam Editeur,
L'iconoclaste, les Éditions de l'Observatoire, Les Forges de Vulcain et
bien entendu Netgalley. Je les en remercie vivement.
Cette liste est bien entendu loin d'être exhaustive et va s'enrichir au fur et à mesure de l'été.
Cette liste est bien entendu loin d'être exhaustive et va s'enrichir au fur et à mesure de l'été.
Mes chroniques seront publiées au fur et à mesure des parutions de ces romans à partir du 16 août
Légende d'un dormeur éveillé de Gaëlle Nohant
à paraître le 17 août aux éditions Héloïse d'Ormesson
Pour raconter la vie de Robert Desnos, aussi
héroïque qu’engagée, Gaëlle Nohant a épousé les pas du poète, écouté
les battements de son cœur, suivi les séances de spiritisme. Elle s’est
assise aux terrasses des cafés en compagnie d’Éluard, Man Ray, Picasso
ou Garcia Lorca et a dansé des nuits entières au Bal nègre aux cotés de
Kiki et de Jean-Louis Barrault.
Son investigation littéraire est fabuleuse, subtile et magistrale. Une traversée du xxe siècle, vivante et tumultueuse, dans les pas d’un héros dont on ne peut que tomber amoureux.
"Venge-nous de la mine", avait écrit mon père. Ses derniers mots. Et je le lui ai promis, poings levés au ciel après sa disparition brutale. J’allais venger mon frère, mort en ouvrier. Venger mon père, parti en paysan. Venger ma mère, esseulée à jamais. J’allais punir les Houillères, et tous ces salauds qui n’avaient jamais payé pour leurs crimes.
A cette liste s'ajouteront des lectures incontournables pour moi :
Son investigation littéraire est fabuleuse, subtile et magistrale. Une traversée du xxe siècle, vivante et tumultueuse, dans les pas d’un héros dont on ne peut que tomber amoureux.
à paraître le 16 août chez Grasset
"Venge-nous de la mine", avait écrit mon père. Ses derniers mots. Et je le lui ai promis, poings levés au ciel après sa disparition brutale. J’allais venger mon frère, mort en ouvrier. Venger mon père, parti en paysan. Venger ma mère, esseulée à jamais. J’allais punir les Houillères, et tous ces salauds qui n’avaient jamais payé pour leurs crimes.
à paraître le 23 août chez Grasset
Mai 68 : tous les cocktails ne sont pas Molotov. À quelques centaines
de mètres de la Sorbonne où les étudiants font la révolution, l’hôtel
Meurice est occupé par son personnel. Le plus fameux prix littéraire du
printemps, le prix Roger-Nimier, pourra-t-il être remis à son lauréat,
un romancier inconnu de vingt-deux ans ?
Sous la houlette altière et légèrement alcoolisée de la milliardaire Florence Gould, qui finance le prix, nous nous faufilons parmi les membres du jury, Paul Morand, Jacques Chardonne, Bernard Frank et tant d’autres célébrités de l’époque, comme Salvador Dalí et J. Paul Getty. Dans cette satire des vanités bien parisiennes passe le personnage émouvant d’un vieux notaire de province qui promène son ombre mélancolique entre le tintement des verres de champagne et les réclamations de « rendre le pouvoir à la base ». Une folle journée où le tragique se mêle à la frivolité.
Sous la houlette altière et légèrement alcoolisée de la milliardaire Florence Gould, qui finance le prix, nous nous faufilons parmi les membres du jury, Paul Morand, Jacques Chardonne, Bernard Frank et tant d’autres célébrités de l’époque, comme Salvador Dalí et J. Paul Getty. Dans cette satire des vanités bien parisiennes passe le personnage émouvant d’un vieux notaire de province qui promène son ombre mélancolique entre le tintement des verres de champagne et les réclamations de « rendre le pouvoir à la base ». Une folle journée où le tragique se mêle à la frivolité.
à paraître le 30 août chez Stock
Elle est célèbre dans le monde entier mais combien connaissent son
nom ? On peut admirer sa silhouette à Washington, Paris, Londres, New
York, Dresde ou
Copenhague, mais où est sa tombe ? On ne sait que son âge, quatorze ans, et le travail qu’elle faisait, car c’était déjà un travail, à cet âge où nos enfants vont à l’école. Dans les années 1880, elle dansait comme petit rat à l’Opéra de Paris,
et ce qui fait souvent rêver nos petites filles n’était pas un rêve pour elle, pas l’âge heureux de notre jeunesse. Elle a été renvoyée après quelques années de labeur, le directeur en a eu assez de ses absences à répétition. C’est qu’elle avait un autre métier, et même deux, parce que les quelques sous gagnés à l’Opéra ne suffisaient pas à la nourrir, elle ni sa famille. Elle était modèle, elle posait pour des peintres ou des sculpteurs. Parmi eux il y avait Edgar Degas.
Copenhague, mais où est sa tombe ? On ne sait que son âge, quatorze ans, et le travail qu’elle faisait, car c’était déjà un travail, à cet âge où nos enfants vont à l’école. Dans les années 1880, elle dansait comme petit rat à l’Opéra de Paris,
et ce qui fait souvent rêver nos petites filles n’était pas un rêve pour elle, pas l’âge heureux de notre jeunesse. Elle a été renvoyée après quelques années de labeur, le directeur en a eu assez de ses absences à répétition. C’est qu’elle avait un autre métier, et même deux, parce que les quelques sous gagnés à l’Opéra ne suffisaient pas à la nourrir, elle ni sa famille. Elle était modèle, elle posait pour des peintres ou des sculpteurs. Parmi eux il y avait Edgar Degas.
à paraître le 23 août chez Stock
Septembre 1908. Gabriële Buffet, femme de 27 ans, indépendante,
musicienne, féministe avant l’heure, rencontre Francis Picabia, jeune
peintre à succès et à la réputation sulfureuse. Il avait besoin d’un
renouveau dans son œuvre, elle est prête à briser les carcans :
insuffler, faire réfléchir, théoriser. Elle devient « la femme au
cerveau érotique » qui met tous les hommes à genoux, dont Marcel
Duchamp et Guillaume Apollinaire. Entre Paris, New York, Berlin, Zürich,
Barcelone, Étival et Saint-Tropez, Gabriële guide les précurseurs de
l’art abstrait, des futuristes, des Dada, toujours à la pointe des
avancées artistiques. Ce livre nous transporte au début d’un xxe siècle qui réinvente les codes de la beauté et de la société.
Anne et Claire Berest sont les arrière-petites-filles de Gabriële Buffet-Picabia.
Anne et Claire Berest sont les arrière-petites-filles de Gabriële Buffet-Picabia.
à paraître le 23 août chez Stock
Marie-Adélaïde, née sous X, a la rage au ventre ; elle a un destin,
mais ne sait pas encore lequel. Pas celui de caissière à La Miche Dorée.
Pas non plus celui de ses rares copines, certaines connues en prison,
d’autres camarades de galère et d’errance. Serait-ce celui de nounou des
enfants impeccables de la Sublime ? Ou celui de retrouver sa mère
coûte que coûte ? Son destin, elle va le chercher avec les moyens dont
elle dispose : le culot, la parole qui frappe, l’humour cinglant,
l’insoumission à son milieu, la révolte contre toutes les conventions.
C’est une héroïne de notre temps.
Imago de Cyril Dion
à paraître le 16 août chez Actes Sud
Parce que son frère s’apprête à commettre en France l’irréparable, Nadr
le pacifiste se lance à sa poursuite, quitte la Palestine, franchit les
tunnels, passe en Égypte, débarque à Marseille puis suit la trace de
Khalil jusqu’à Paris. Se révolter, s’interposer : deux manières
d’affronter le même obstacle, se libérer de tout enfermement, accéder à
soi-même, entrer en résilience contre le sentiment d’immobilité,
d’incarcération, d’irrémédiable injustice.
Sous couvert de fiction, ce premier roman est celui d’un homme engagé pour un autre monde, une autre société – un engagement qui passe ici par l’imaginaire pour approcher encore davantage l’une des tragédies les plus durables du xxe siècle.
Sous couvert de fiction, ce premier roman est celui d’un homme engagé pour un autre monde, une autre société – un engagement qui passe ici par l’imaginaire pour approcher encore davantage l’une des tragédies les plus durables du xxe siècle.
à paraître le 24 août chez Quidam Editeur
Je suis romancier. J’invente des histoires. Des intrigues. Des
personnages. Et, j’espère, une langue. Pour dire et questionner le
monde, l’humain.
Il m’est arrivé une mésaventure, devenue une tuile pour le romancier qui partage ma vie : je me suis trouvé un soir parisien de novembre au mauvais endroit au mauvais moment ; donc lui aussi.
Il m’est arrivé une mésaventure, devenue une tuile pour le romancier qui partage ma vie : je me suis trouvé un soir parisien de novembre au mauvais endroit au mauvais moment ; donc lui aussi.
à paraître le 24 août aux Forges de Vulcain
C'est l'histoire de Stradi qui naît avec un violon dans le crâne. A
l'école, il va souffrir à cause de la maladresse ou de l'ignorance des
adultes et des enfants. A ces souffrances, il va opposer son optimisme
invincible, héritage de ses parents. Et son violon s'avère être un atout
qui lui permet de rêver et d'espérer. Roman de l'éducation, révérant la
différence et le pouvoir de l'imagination.
Les jouisseurs de Sigolène Vinson
à paraître le 23 août aux Éditions de l'Observatoire
Ils sont quatre : Olivier et Éléonore, Ole et Léonie. Tous jouisseurs.
Atteint du syndrome de la page blanche, Olivier dérobe un automate, l’Écrivain, pour composer le roman qu’il n’arrive pas à créer. Sa compagne, Éléonore, visiteuse médicale, dévore sa propre cargaison de psychotropes et, dans ses hallucinations fantasques, s’empare de l’Écrivain pour imaginer Ole et Léonie.
Dans le Maroc de Lyautey, à deux siècles de là, ces derniers traversent le désert à bord de leur caravane de débauche, instillant le vice et l’alcool à mesure des escales. Comme Olivier et Éléonore, les contrebandiers cherchent à tromper leur mélancolie.
Des glaciers suisses aux dunes marocaines, du xixe au xxie siècle, existe-t-il une jouissance assez puissante pour échapper à la brutalité de l’instant terrestre et accéder à la joie de vivre ?
Atteint du syndrome de la page blanche, Olivier dérobe un automate, l’Écrivain, pour composer le roman qu’il n’arrive pas à créer. Sa compagne, Éléonore, visiteuse médicale, dévore sa propre cargaison de psychotropes et, dans ses hallucinations fantasques, s’empare de l’Écrivain pour imaginer Ole et Léonie.
Dans le Maroc de Lyautey, à deux siècles de là, ces derniers traversent le désert à bord de leur caravane de débauche, instillant le vice et l’alcool à mesure des escales. Comme Olivier et Éléonore, les contrebandiers cherchent à tromper leur mélancolie.
Des glaciers suisses aux dunes marocaines, du xixe au xxie siècle, existe-t-il une jouissance assez puissante pour échapper à la brutalité de l’instant terrestre et accéder à la joie de vivre ?
à paraître le 23 août aux Éditions de l'Observatoire
Sous les bombardements, dans Berlin assiégé, la femme la plus puissante du IIIe
Reich se terre avec ses six enfants dans le dernier refuge des
dignitaires de l’Allemagne nazie. L’ambitieuse s’est hissée jusqu’aux
plus hautes marches du pouvoir sans jamais se retourner sur ceux qu’elle
a sacrifiés. Aux dernières heures du funeste régime, Magda s’enfonce
dans l’abîme, avec ses secrets.
Au même moment, des centaines de femmes et d’hommes avancent sur un chemin poussiéreux, s’accrochant à ce qu’il leur reste de vie. Parmi ces survivants de l’enfer des camps, marche une enfant frêle et silencieuse. Ava est la dépositaire d’une tragique mémoire : dans un rouleau de cuir, elle tient cachées les lettres d’un père. Richard Friedländer, raflé parmi les premiers juifs, fut condamné par la folie d’un homme et le silence d’une femme : sa fille. Elle aurait pu le sauver. Elle s’appelle Magda Goebbels.
Au même moment, des centaines de femmes et d’hommes avancent sur un chemin poussiéreux, s’accrochant à ce qu’il leur reste de vie. Parmi ces survivants de l’enfer des camps, marche une enfant frêle et silencieuse. Ava est la dépositaire d’une tragique mémoire : dans un rouleau de cuir, elle tient cachées les lettres d’un père. Richard Friedländer, raflé parmi les premiers juifs, fut condamné par la folie d’un homme et le silence d’une femme : sa fille. Elle aurait pu le sauver. Elle s’appelle Magda Goebbels.
à paraître le 23 août chez JC Lattès
Lors d’un pique-nique au bord du lac Léman, Summer, dix-neuf ans,
disparaît. Elle laisse une dernière image : celle d’une jeune fille
blonde courant dans les fougères, short en jean, longues jambes nues.
Disparue dans le vent, dans les arbres, dans l’eau. Ou ailleurs ?
Vingt-cinq ans ont passé. Son frère cadet Benjamin est submergé par le souvenir. Summer surgit dans ses rêves, spectrale et gracieuse, et réveille les secrets d’une famille figée dans le silence et les apparences.
Comment vit-on avec les fantômes ? Monica Sabolo a écrit un roman puissant, poétique, bouleversant.
Vingt-cinq ans ont passé. Son frère cadet Benjamin est submergé par le souvenir. Summer surgit dans ses rêves, spectrale et gracieuse, et réveille les secrets d’une famille figée dans le silence et les apparences.
Comment vit-on avec les fantômes ? Monica Sabolo a écrit un roman puissant, poétique, bouleversant.
Je me promets d'éclatantes revanches de Valentine Goby
à paraître le 30 août aux éditions L'iconoclaste
Un manifeste pour la littérature à la lumière de Charlotte Delbo.
"J’ai ouvert Aucun de nous ne reviendra, et cette voix m’a saisie comme nulle autre. Je suis entrée à Auschwitz par la langue."
L’une, Valentine Goby, est romancière.
L’autre, c’est Charlotte Delbo, amoureuse, déportée, résistante, poète ;
elle a laissé une œuvre foudroyante. Voici deux femmes engagées, la
littérature chevillée au corps. Au sortir d’Auschwitz, Charlotte Delbo
invente une écriture radicale, puissante, suggestive pour continuer de
vivre, envers et contre tout.
Lorsqu’elle la découvre, Valentine Goby,
éblouie, plonge dans son œuvre et déroule lentement le fil qui la
relie à cette femme hors du commun. Pour que d’autres risquent
l’aventure magnifique de sa lecture, mais aussi pour lancer un grand cri
d’amour à la littérature. Celle qui change la vie, qui console, qui
sauve.
" Ma vie n’est rien qu’écrire. Le panda mange de l’eucalyptus, moi de l’encre."
Pour la première fois, Christian Bobin livre un texte entièrement
composé de lettres. Rares et précieuses, elles sont adressées tour à
tour à sa mère, à un bol, à un nuage, à un ami, à une sonate. Sous
l’ombre de Ryokan, moine japonais du XIXe siècle, l’auteur
compose une célébration du simple et du quotidien. La lettre est ici le
lieu de l’intime, l’écrin des choses vues et aimées. Elle célèbre le
miracle d’exister. Et d’une page à l’autre, nous invite au recueillement
et à la méditation.
"J’ai interrogé les livres et je leur ai demandé quel était le
sens de la vie, mais ils n’ont pas répondu. J’ai frappé aux portes du
silence, de la musique, et même de la mort, mais personne n’a ouvert.
Alors j’ai cessé de demander. J’ai aimé les livres pour ce qu’ils
étaient, des blocs de paix, des respirations si lentes qu’on les entend à
peine."
Leur séparation de Sophie Lemp
à paraître le 7 septembre chez Allary Éditions
"Ce
samedi matin de janvier, ma mère m’attend à la sortie de
l’école. Comme les autres jours, nous remontons la rue des Boulangers
mais, au lieu de nous arrêter au carrefour, nous prenons à gauche dans
la rue Monge. Je me retourne et aperçois un camion de déménagement garé
en bas de notre immeuble. Ma mère serre ma main dans la sienne. Je n’ai
pas envie de parler, je pense au camion, aux cartons, au salon qui
demain sera à moitié vide. Je pense à mon père. Désormais, j’irai chez
lui tous les mercredis soir et un week-end sur deux. Ma mère s’est
organisée pour que je passe l’après-midi et la nuit chez une amie. Avant
de partir, elle me dit Profite bien de ta journée, amuse-toi, essaye de
penser à autre chose. Je hoche la tête mais je sais que jamais plus je
ne penserai à autre chose."
Sophie Lemp fête ses dix ans quand ses parents divorcent.
Trente ans plus tard, c’est avec le regard d’une petite fille devenue
adulte qu’elle revit cette séparation. Pourquoi cette blessure, commune à tant d’enfants, est-elle si difficile à cicatriser ?
- Nos richesses de Kaouther Adimi
- Ma reine de Jean-Baptiste Andréa
- C'est le cœur qui lâche en dernier de Margaret Atwood
- Barbara, roman de Julie Bonnie
- David Bowie n'est pas mort de Sonia David
- Point cardinal de Léonor De Recondo
- L'invention des corps de Pierre Ducrozet
- American war d'Omar El Akkad
- Survivre de Frédérika Amalia Finkelstein
- La beauté des jours de Claudie Gallay
- La disparition de Josef Mengele d'Olivier Guez
- La serpe de Philippe Jaenada
- Nos vies de Marie-Hélène Fafon
- Mistral perdu ou les évènements d'Isabelle Monnin
- Et soudain la liberté d'Evelyne Pisier et Caroline Laurent
- Le sympathisant de Viet Thanh N'Guyen
- La chambre des époux d'Eric Reinhardt
- Femme à la mobylette de Jean-Luc Seigle
- L'absente de Noël de Karine Silla
- Le camp des autres de Thomas Vinau
- L'art de perdre d'Alice Zeniter
Cette liste est appelée à évoluer et sera complétée au fur et à mesure par les liens renvoyant vers mes chroniques.
Voilà une rentrée littéraire bien intéressante qui se profile...
Oh ben nous avons pas mal de lectures communes ! Chic ! :D
RépondreSupprimerJe viens d'aller voir ta liste et j'y ai pioché deux nouvelles idées !!!
SupprimerTrès bonnes lectures et bel été.
Oui beaucoup d'envies communes
RépondreSupprimerCette rentrée s'annonce très riche je trouve... Bonnes lectures et bel été !
SupprimerDe jolis moments en perspective ! Nous en partagerons pas mal (comme souvent). Et le pire c'est qu'après ça, nous ne serons même pas rassasiées :-) ! Belles lectures à toi !
RépondreSupprimerNous allons pouvoir comparer nos avis comme souvent... Et tu as raison nous ne serons jamais rassasiées !
SupprimerBon été livresque !
cette rentrée est superbe! je suis ravie de lire le nouveau Chalandon, et le livre des soeurs Berest... mais aussi le Joyce Maynard, le Miloszewski, le Joy Sorman, le MH Lafon, le Jonathan Safran Foer, le Daniel Mendelsohn...
RépondreSupprimerC'est fou comme il y a des titres qui me tentent dans cette rentrée moi aussi.
SupprimerJ'ai déjà lu le nouveau Chalandon, c'est toujours une valeur sûre, sans surprise !
Oulaaaaa va y'avoir du bon dans cette rentrée littéraire �� ma PAL va toucher le plafond lol
RépondreSupprimerMoi aussi... du coup je vais un peu lever le pied sur les 68 je crois...
SupprimerComme toi je suis une inconditionnelle de Sorj Chalandon (je vois que l'as déjà lu, quelle chance!) et Valentine Goby alors cette rentrée littéraire m'enchante par avance. Je constate que nous nous sommes positionnées sur plusieurs titres similaires ...J'ai déjà eu la chance de lire deux des titres que tu évoques, j'ai hâte de pouvoir partager cette expérience avec toi. Bonne soirée
RépondreSupprimerQue cette rentrée s'annonce intéressante! Je ne suis pas étonnée que nous ayons des titres en commun... Hâte aussi de partager mes ressentis avec toi. Bonne journée.
SupprimerIl y en aussi pas mal dans ta liste que j'ai envie de lire. J'irai en ville demain pour regarder ce qui est déjà sorti. Bizarrement les journalistes de l'Express semblent déçus par le dernier roman de Sorj Chalandon. Mais je vais quand même l'acheter pour me faire mon opinion.
RépondreSupprimerJ'ai vu ça pour l'Express mais je ne sais pas ce qu'ils lui reprochent...En tout cas moi je l'ai adoré et je ne suis pas la seule...
SupprimerRien de mieux que de te faire ton propre avis ! On en reparle....